Le débat sur les méthodes de dépistage du cancer du col de l’utérus s’intensifie, révélant des tensions entre recommandations officielles et pratiques de terrain. Cette controverse met en lumière les enjeux complexes entre efficacité médicale et considérations économiques.
Une situation nuancée
Le contexte scientifique
- Directives nationales basées sur des études robustes
- Recommandations européennes en faveur du test HPV
- 10% des cancers non liés au HPV
- 9,9% des tumeurs invasives HPV-négatives
Les pratiques contestées
- Co-tests systématiques proposés par certains laboratoires
- Coûts supplémentaires de 18 à 30€ pour les patientes
- Arguments de « tranquillité d’esprit » remis en question
Mesures et réactions institutionnelles
Actions engagées
- Communication commune VVOG-CRGOLFB
- Intervention du Centre National de Référence HPV
- Implication prévue de l’INAMI
- Consultation des entités fédérées
Vers un équilibre
- Nécessité d’une analyse coûts-bénéfices
- Importance de l’information aux patientes
- Respect des protocoles validés
Pour rappel : https://oncostar.be/alerte-solidaris-depistage-abusif-cancer-col/