Une étude menée à Oslo révèle le potentiel prometteur du lycopène, le pigment qui donne aux tomates leur couleur rouge, dans la lutte contre le cancer de la prostate. Cette découverte ouvre des perspectives intéressantes pour une approche nutritionnelle complémentaire aux traitements traditionnels.
Des résultats encourageants
Impact sur la PSA
- Diminution significative chez les patients consommant des tomates riches en lycopène (30 mg)
- Résultats particulièrement marqués dans les phases précoces du cancer
- Corrélation directe avec les niveaux sanguins de lycopène
Le rôle de la PSA
Cette protéine, sécrétée par la prostate, est un marqueur important :
- Son augmentation peut signaler une anomalie
- Sa stabilisation est un signe positif chez les patients atteints
- Sa diminution suggère une amélioration potentielle
Points d’attention importants
La recherche souligne plusieurs facteurs clés :
- La concentration variable de lycopène selon les tomates
- L’importance de la biodisponibilité
- La nécessité d’une consommation régulière et suffisante